Guy Torreilles

Nous nous retrouvons avec Jean Lassalle, après cette matinée de moments si intenses. « Ah te voilà, mon ami danseur… » me dit il…
Et puis ce fut un moment d’une forte connivence, un moment d’une émotion indescriptible. Et oui, après les sourires ce fut un instant de relâchement, étreint l’un et l’autre, jusqu’à se lâcher moralement et laisser l’émotion ultime nous gagner Pour ceux qui étaient autour de nous, nombreux, ils ont pu voir à quel point le cœur pouvait parler. Je n’oublierai jamais ce moment ou je ressentais toute cette puissance d’un Homme, un Elu, un Maire, un Député, qui a compris et ce n’était pas la première fois, qu’il fallait être au service des autres. Coute que coute, quoi qu’il arrive, quoi que pense ceux qui siègent  habituellement dans cette Assemblée.
J’ai ressenti l’Homme unique qu’il est, croyant à un avenir, un futur, une exigence, un projet pour le peuple Français. Oui en un seul instant, m’empoignant fortement pour me faire passer ce message et toute cette ferveur qu’il avait accumulée durant son périple à la rencontre de tous ceux qui venaient à lui, et bien OUI j’ai ressenti la passion de cet Homme Heureux et soulagé d’avoir fait l’incroyable chemin vers un MONDE MEILLEUR.
Merci Jean, merci de ce que tu m’as donné, tant de joie à cet instant.
Je vous ai raconté cela, non pas pour une certaine flagornerie, mais parce qu’encore ce matin j’en suis affecté par ce moment vécu. Cette émotion reflète exactement ce que je crois être notre mouvement « le Modem ». La démocratie, l’écoute, le partage, le don de soit pour certain et un Humanisme à toute épreuve.