ELLE EST BELLE CETTE DATE...

 

Combien de soldats, combien de civils sont-ils tombés pour cette date. Pensons à ceux qui ont donné leur vie et sans réserve, pour eux, défendons l'amour de notre pays, de notre drapeau, de nos différences, de notre humanité. Une victoire contre le nazisme et la barbarie. ALORS, que l'on s'en souvienne, car l'espace entre ces deux mondes, celui impitoyable de ceux qui ont cru pouvoir tout diriger en "maîtres et en bourreaux " et celui que l'on a construit dans la liberté,est si différents et pourtant dans ces temps si confus, si proches. L'Europe est là, il nous incombe de la faire vivre dans le souvenir, la démocratie, le partage et le rassemblement. Pensons à ceux, de ces dates terribles et sans réserve défendons la fraternité, la liberté et l'amour de la vie.                                                                                           GuyTorreilles

 

L'HÔPITAL NE PEUT SE SUFFIRE DE LA CHARITE...

Il y avait une catastrophe dans notre pays bien avant la catastrophe Et la première rend, comme on pouvait s’y attendre, la seconde plus tragique qu’elle ne l’est déjà. C’était la situation de l’Hôpital public en France. Et de notre système de soin dans son ensemble. En juin dernier, bien avant l’arrivée de la pandémie, urgentistes et personnels hospitaliers manifestaient encore, dénonçant le manque de moyens, l’obsession de la rentabilité et les salaires trop bas, malgré le projet de loi Santé, qui prévoyait enfin, un peu tard?, le développement des « hôpitaux de proximité » pour lutter contre les déserts médicaux. Bien des manifestations et lanceurs d’alerte, ont rappelé sans cesse ce que nous connaissions, nous, Français, sur le terrain et dans notre chair, dans notre pratique des Urgences et nos difficultés, croissantes depuis des années, dans l’accès aux soins, pour certaines classes sociales et sur certains territoires en particulier. Fallait-il la pandémie du COVID-19 pour que des décideurs le découvrent ? Ce qui était déjà une catastrophe en temps normal devait fatalement devenir tragique avec une crise sanitaire mondiale. Dès son discours du 12 mars, le Président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé une forme discrète de virage idéologique, auquel le MoDEM sera sûrement très attentif, avancé sous couvert d’une prise de conscience sur l’importance de l’Etat-providence, des services publics, et en premier lieu de ceux de la santé. « Ce que révèle cette pandémie, c’est qu’il est des biens et des services qui doivent être placés en dehors des lois du marché. » Dont acte. Si le MoDEM’66 s’est réjoui de ce qui ressemble à la volonté d’un coup de frein à des années d’ultra-libéralisme mondialisé, qui aurait pu, ou dû, être un élément essentiel de réponse au mouvement des Gilets jaunes, il restera vigilent et exigeant, désireux de voir enfin se mettre en œuvre une politique nationale humaniste souhaitable et possible dans notre département. Une politique libérale, mais de justice sociale et de progrès, démocratique et éco-responsable. Qui, au-delà de la Santé, est capable d’investir dans l’Education et la Recherche, pour le bien commun. Lorsque l’état de la Recherche, médicale en l’occurrence, pose aujourd’hui autant question que celui de l’Hôpital. Il est émouvant et légitime de voir les Français rendre hommage tous les soirs aux personnels hospitaliers, médecins, pharmaciens, infirmiers, ambulanciers, agents des SAMU, à l’ensemble des personnels du service public de la Santé comme aux auxiliaires de vie. Sans oublier les enseignants, forces de l’ordre, et autres agents de la Fonction publique mobilisés sur le terrain. Mais voilà, nous pensons que les applaudir, c’est bien. Revoir leurs conditions de travail et financières, c’est mieux ». Guy Torreilles Responsable Modem66 Philippe Latger Modem66

SE SERVIR DU COVID POUR ASSOUPLIR LES NORMES ENVIRONNEMENTALES...

Le Modem66 rappelle et pense que ces normes sont un "contrat" avec les multinationales en particulier, que l'on ne peut effacer, sous des prétextes aussi importants soient-ils. Ou alors, on pourra dire adieu à ce que cette crise nous a permis au moins de constater... GTorreilles responsable Modem66

 

 

« La gestion de la pandémie de Covid-19 et les mesures nécessaires à la sortie de crise conspirent à faire de l’environnement une question subsidiaire » CHRONIQUE auteur Stéphane Foucart Dans sa chronique, Stéphane Foucart, journaliste au « Monde », revient sur les appels de nombreux acteurs économiques à un assouplissement des normes environnementales pour faire face à la pandémie due au coronavirus.

VOILA QUE CELA BOUGE ...

Partager, rassembler les bonnes volontés et la solution sera au bout. Dans ce combat, il ne doit y avoir qu'une seule voix, celle de Femmes et d'hommes de tous les partis.

Une « alliance pour une relance verte » se forge au sein du Parlement européen Par : Frédéric Simon | EURACTIV.com | translated by Sandra Moro.

LE CORONA VIRUS...

ECHANGE AVEC ROMAIN GRAU DEPUTE DES PO...

Des rapports francs, sincères et très amicaux avec Romain. Mon soutien Centriste et personnel est tellement naturel ...

L'ECOLOGIE NE PEUT APPARTENIR A UN SEUL MOUVEMENT...

Même si les verts portent l'idée, ils ne sont pas les seuls à porter la couleur. Le Modem a toujours été un mouvement alliant l'Economie, le Social et l’Ecologie et d'ailleurs nous en avons toujours eu l'esprit et les racines «DEMOCRATES pour la planète». Nous prenons en compte la réalité d'une économie de marché où la recherche et la liberté d'entreprendre doivent être protégées, lorsque nous préférons une croissance responsable à la décroissance, c'est là aussi ce que nous voulons favoriser dans le programme de Romain Grau. Il est indispensable de coordonner et d'associer la conscience écologique aux questions sociales et économiques : veiller à ce que personne n'ait le sentiment qu'on en fait plus pour l'environnement que pour eux-mêmes, et à ce que la préservation du vivant ne freine pas l'innovation. La conscience écologique est devenue acquise et transversale, et n'est le monopole d'aucun mouvement progressiste. Sur notre territoire, s'approprier les seules questions environnementales ne fait pas une campagne. Si nous avons certes le potentiel inexploité des énergies vertes toujours en friche dans notre département, l'écologie ne peut être l'arbre qui cache la forêt de nos problèmes urbains à Perpignan. Au même titre que la culture et le patrimoine, elle contribue à la politique globale dont la ville a besoin, au-delà des seules questions écologiques, et c'est en cela que nous pouvons apporter notre soutien à Romain Grau "Pour Perpignan". Ne pas se rassembler, c'est laisser la place aux extrêmes. Guy Torreilles Responsable Modem66

2020 LA NOUVELLE ANNEE...