En tireront-ils les conséquences...

« Le résultat de Perpignan est loin d’un rayon de soleil et ne peut nous réjouir, il sonne aussi le glas d’une époque obscure où le clientélisme a été sanctionné par un vote de rejet, mais aussi par défaut. Les responsabilités de ce désastre en reviennent à ceux qui, soit par égoïsme, soit par rancœur, soit par calcul, n’ont bien avant le premier tour, jamais pensé à Perpignan, ou si peu, trop occupés à se placer déjà sur les élections régionales. Eh pourtant, la possibilité d’un rassemblement de la Gauche tempérée à la Droite modérée en passant par le Centre et les Ecologistes était visible. Nous, Centristes, serons force de propositions pour que notre ville ne reste pas à la rubrique des faits-divers nationaux. Il faut que les Perpignanais sachent qu’il y aura une autre voie de démocratie participative, que nous leur proposerons. Une des leçons de cette élection c’est que LaREM, c’est pratiquement terminé ! ». Guy Torreilles, responsable du MoDEM’66

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